Aujourd’hui, les générations des plus de 65 ans vivent des bouleversements dont on parle peu.
Comment aborder, accepter, préparer, vivre la retraite après une vie active et enrichissante - et même après une vie professionnelle difficile ? L’identité même est mise à mal dans cette épreuve. De plus, c’est toute l’organisation de la vie quotidienne qui est chamboulée : rester à la maison, être 24h/24 avec son conjoint, perdre le contact avec ses anciens collègues...
Quelquefois, les enfants sont loin, les contacts sont rompus, la famille a disparu...
La maladie isole aussi, les rencontres sont de plus en plus rares.
Une activité professionnelle constitue pour beaucoup d'entre nous un centre de ressources, de valorisation, de bonheur même. Pourtant, le monde du travail est aujourd’hui particulièrement cruel, les règles de travail peuvent être incompréhensibles, le harcèlement monnaie courante. La mobilité, l'agilité, l’adaptabilité, la rentabilité sont des fausses valeurs qui peuvent nous rendre malades, qui détruisent petit à petit notre sentiment d’être un humain parmi les autres humains.
Dans cette ère "post-moderne", les injonctions sont nombreuses : rencontrer quelqu’un, faire des enfants, construire un foyer, gagner de l’argent etc. Comment avancer dans la vie sans répondre exactement à ces injonctions ? Comment exister ?
Conflits, oppositions, dépendance aux jeux, à des substances, conduites à risque... Être parent d’adolescent exige quelquefois de tenir bon, de résister à la tempête.
Être adolescent c’est traverser un fleuve séparant à tout jamais l’enfant qu’on était et l’adulte qui va falloir être, c’est être débordé d’émotions. Colère, envie, énergie se bousculent et s’opposent à l’ordre établi (école, parents). La souffrance est grande quand les parents ne résistent plus, n’existent pas ou bien résistent trop.
Par ma spécialité de psychologie interculturelle, je suis formée à prendre en compte, dans chaque personne qui consulte, ses appartenances culturelles, sociales. Aucun d’entre nous n’est libre de toute empreinte culturelle, notre façon de parler, de penser est aussi dépendante de nos origines, qu’on vienne de loin ou pas.
Je connais bien les problématiques de contact culturel qui peuvent être le quotidien de personnes ou de familles réfugiées, de demandeurs d’asile, d’expatriés, de travailleurs détachés, etc.
Les consultations peuvent si nécessaire se dérouler en présence d’un interprète.
Florence Valverde
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TOULOUSE
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